Est-ce le nouveau texte de bru, faisant allusion à l’invocation d’un père noë l-fouettard distribuant fessées et autres fouetteries à des jeunes filles ou hommes (cela dépend de la version) réclamant justes châtiments pour leur conduite pas très catholique ou est-ce l’arrivée impromptue de l’esprit des papous suite à un lapsus d’inspiration rythmique, toujours est-il que mon appareil à enregistrer s’est refusé à enregistrer la plus grande part de cette répétition.
Les quelques rescapées, dont certaines incomplètes, resteront l’unique témoignage de cette soirée, sorte de ruines dont seule une extrapolation perspicace pourrait donner l’ampleur du tout.
Quoi qu’il en soit, les papous sont restés dans mon esprit, m’apprenant que les choses de l’amour et de la rupture sont chez eux exprimées au moyen d’arcs et de guimbardes dont seuls les ressortissant du même genre peuvent comprendre la signification. Une belle image sonore de l’incommunicabilité des sentiments.